Le pays est ce corps sur lequel nous marchons. Parfois bien moins qu’un corps : une marque laissée par d’autres dont il n’est même plus question dans le présent qui nous façonne.
mbai.mihindou (arobaz) gmail (point) com
testailke
Nous nous unissons, tous les jours, en nous donnant l’opportunité de rompre avec les structures ancestrales qui génèrent les conflits. (…) Nous nous unissons, vivant libre de ce que nous sommes. Nous nous unissons, vivant et marchant avec amour vers la liberté. La liberté perçu comme l’expression de l’être et non comme une catégorie intellectuelle mais plutôt comme une expression humaine, comme quand tu ris, quand tu pleures, quand tu cris, quand tu te tais, quand tu te permets d’être libre.